DogTV cible les chiennes de moins de 50 ans

Depuis le 1er août, les toutous disposent d’une chaîne de télé attitrée aux Etats-Unis. Il était temps !


Lorsqu’on veut créer une chaîne de télé et gagner plein d’argent, la seule vraie question à se poser est la suivante : quelle cible viser ? Les ménagères de moins de 50 ans étant prises depuis longtemps, tout comme les sportifs, les vieux, les enfants, les gays, les dingues de bagnoles, les ados, les obsédés sexuels, les femmes enceintes et même les ânes, il ne reste plus grand monde à gaver. Yossi Uzrad, Gilad Neumann et Ron Levi ont donc choisi de faire une télévision pour les chiens.

DogTV, puisque c’est son nom, émet depuis le 1er août aux Etats-Unis et ses programmes sont, paraît-il, déjà très appréciés par les ­caniches et les labradors yankees. On y voit des os, des niches, des truffes, des gamelles, des ­baballes, des toutous, des croquettes et des langues pendantes, le tout agrémenté d’aboiements de bon aloi et de musique décontractante. Car il ne s’agit pas de faire de la télé poubelle : DogTV se veut résolument une chaîne haut de gamme sans sexe ni violence, un Arte du canidé calibré pour les Chiens Sans Puce supérieurs (CSP+). Au prix de l’abonnement (9,99  dollars par mois), on n’en attendait pas moins.

Pour le cas où vous seriez déjà en train de ricaner – ah ça elle est bien bonne celle-là, voilà qu’ils font des télés pour les clébards maintenant – les comportementalistes animaliers de renommée internationale qui s’expriment sur le site de la nouvelle chaîne se chargeront de vous faire ­ravaler vos sarcasmes. Vous apprendrez que les chiens d’un certain milieu n’aiment pas rester tout seuls, qu’ils dépriment lorsqu’ils sont face à eux-mêmes, parfaitement, et que regarder la télé l’après-midi pendant que leur maître ­bataille avec son psychanalyste leur permet de ­tenir le coup psychologiquement. Eh oui.
Il est encore trop tôt pour juger du succès de ce génial business. Mais si, comme l’espèrent ses concepteurs, il rapporte des millions, cela va ­offrir un boulevard à pas mal de nos producteurs et animateurs, Dechavanne et PPDA en tête. D’instinct, comme ça, on peut déjà imaginer une TéléMinou, une Fréquence-Poisson rouge, et peut-être même un Canal Azalée, car les fleurs aussi s’ennuient dans leurs vases, pendant que leur maître écrit des sornettes dans les journaux.

Posez vos seins n’importe où et rejoignez la mouvance du #Mamming




Si on connaissait le mois de novembre et son Movember qui incite les hommes à se laisser pousser la moustache afin de sensibiliser l’opinion publique aux maladies masculines (tel que le cancer de la prostate), voilà que le mois d’octobre se retrouve alpagué par les nanas cette fois, avec une pratique bien étrange. Non, les dames ne se laissent pas pousser la pilosité faciale (on a vu il y a quelques temps que c’était pas franchement joli-joli), ni le poil aux pattes, mais elles posent leurs boobs partout !

La raison de cette étrange pratique ? Le Mamming, un mouvement destiné à encourager les femmes à faire régulièrement une mammographie afin de dépister le cancer du sein. Ainsi est né le #mamming, où les femmes du monde entier posent leur poitrine là ou bon leur semble dans des lieux publics, pour ensuite se poster seins posés sur Instagram.

On se souvient que la semaine dernière, les hommes plongeaient leur tête entre les seins de ces dames, toujours pour la noble cause du dépistage du cancer du sein. #çavatroploin ?

Plus d’infos sur le site du Mamming.







Il utilise à merveille la perspective et redonne vie à des voitures de collection




Des voitures de collection et des créations. Voilà qui pourrait être le nom du Tumblr de ce monsieur, si celui-ci était amené à en créer un.

De fait, Michael Paul Smith est un artiste qui use de la perspective pour redonner vie à d’anciens modèles de voitures. Armé de ses Majorette, de ses Norev et de son appareil photo, ce dernier met en scène les véhicules sur la route, en panne ou au garage.

Voilà maintenant plus de 25 ans que Michael Paul Smith s’amuse à jouer de cette manière avec des voitures miniatures. Une passion simple mais au rendu efficace !







Marre de bosser ? 
Offrez-vous un Chinois


Avant d’être repéré par son patron, un génial ingénieur américain a fait faire pendant des années tout son boulot 
à un Pékinois, fort compétent du reste. En échange, il lui envoyait à peine 20% de son salaire. On s’y met tous ?


Les Chinois, les Chinois… A vous entendre grogner dans votre barbe du matin au soir, on a l’impression que c’est une invention du diable. Et vas-y qu’ils sont plus forts que nous, et vas-y qu’ils vont nous dévorer tout cru, et vas-y que même leurs voitures sont meilleures que les nôtres… Evidemment, si votre seule contribution à l’entente cordiale sino-hexagonale consiste à vous faire piquer votre boulot par un Cantonais et à jamais en retrouver parce que tout le secteur a déménagé là-bas, votre agacement peut se comprendre. Mais ce n’est pas une raison pour vous tromper de combat. Les Chinois, voyez-vous, c’est comme les robots de cuisine : le tout, c’est de savoir les utiliser.

A vrai dire, moi non plus je n’avais pas trop l’idée de comment m’y prendre avec ces gars-là. Je tâtonnais. Je tournais autour du pot de litchis. Et puis subitement, la semaine dernière, un dénommé Bob m’a ouvert les yeux. Ne me demandez pas en quoi consistait exactement le boulot de cet ingénieur américain, je n’en ai pas la moindre idée. Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’il ne le faisait pas : il le sous-traitait en douce à un Pékinois resté au pays, fort compétent d’ailleurs, et il lui refilait par mandat postal 20% de son salaire, c’est bien assez pour ces gens-là. Et voilà le non-travail !

Grâce à quoi, pendant que ses collègues marnaient dans les bureaux voisins, cet intelligent garçon passait ses journées à rien fiche, un peu comme les guichetiers de la RATP (reste assis, t’es payé) les jours où ils ne font pas grève. Hélas ! Lorsque son patron a découvert ce petit trafic transcontinental, il n’a pas été content du tout, et Bob a été flanqué à la porte sans ménagement ni indemnités. Encore une victime des Chinois…

Depuis, j’ai pris mes renseignements. J’ai découvert que plusieurs de nos grands patrons font exactement la même chose, et que ça leur permet d’aller jouer au golf en semaine. Le problème, il fallait s’y attendre, c’est que leurs coolies personnels prennent un malin plaisir à couler leurs boîtes, gniark gniark gniark… Vous comprenez, maintenant, pourquoi PSA va si mal ? Alors, faites comme vous voulez, mais moi, je vais sélectionner avec le plus grand soin mon factotum céleste. Manquerait plus qu’il dise du bien des Chinois dans cette page.

gagner de l'argent sur le net

les uns disnet que c'est de l'arnaque d'autre dise qu'ils ont bien gangé, lma solution est d'essayer.
ce que je vais faire c'est que je vais partager avec vous mon Expérience et on verra après si c'est de l'arnaque ou de la réalité.
2/ le premier site a rencontré beaucoup de problème : impossible de le partager sur FB, de même sur google+ . Tous ceci me pousse à chercher autre site.
le 2ème que je suis entrain d'essayer est FR actualité: l'idée m'a plus :
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juste une fois vous cliquer laisser molis un commentaire pour pouvoir contrôler car jusque là la page a été vue 8 fois mais sur le site 0 nouveaux clique alors juste pour vérier merci :)

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- le 24 Octobre le nombre passe de 6 à 11 et le sgains potentiel à 7.5$ on avance pour conculre si ce site est une arnaque ou une réalité. 

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10 fautes de français qu’on fait tout le temps en étant convaincu que c’est juste

 
Vous n'avez jamais été une flèche en orthographe, mais pas totalement une brêle non plus. Disons que vous êtes dans la moyenne: vous vous débrouillez, et parfois vous improvisez un peu avec ces fichus accords du participe passé, ou bien vous contournez le problème en tournant la phrase autrement. Sauf que ce que vous ne savez pas, c'est que même quand vous croyez vous en sortir haut la main, vous faites des erreurs, sans même vous en douter. La preuve en 10 fautes très moches, que vous commettez allègrement tous les jours, et qu'on va corriger ensemble.

On n'écrit jamais "quelque soit". Non, jamais.

On peut écrire "quel(s) que soi(en)t", "quelle(s) que soi(en)t", en fonction du terme qui suit. Mais pas "quelque soit": même si ça se fait dans les courriers administratifs, ce n'est pas une excuse.
On ne devrait jamais écrire "autant pour moi", c'est mal.
Il faut écrire "au temps pour moi". On vous voit venir, vous ne nous croyez pas, vous doutez? Allez vérifier. Alors ? Et oui, on a raison. Cherchez pas.
"Quelquefois", à de très rares exceptions, s'écrit toujours en un seul mot.
Est ce qu'il vous est déjà arrivé quelquefois d'écrire correctement "quelquefois"?
La phrase "les reines se sont succédé" est correcte.
Même si ça fait moche.. Le participe passé du verbe "succéder" ne doit pas s'accorder au féminin pluriel. Alors oui, vous avez raison, "les reines" est sujet et l'auxiliaire "être" impose normalement qu'on accorde avec le sujet, mais pas là. Si on vous dit que c'est parce que le pronom "se" est ici un COI, ça ne vous éclaire pas, n'est-ce pas? Et bien pourtant, ici, c'est ce qui explique tout.
"Parmi" et "malgré" ne prennent jamais de "s".
Ne mettez pas de mauvaise volonté, pour une fois c'est facile quand même, on vous dit: JAMAIS. Donc vous le retenez une fois et c'est bon. Par contre, "toujours" en a toujours un. Toujours. Et "jamais" aussi. Mais ça va vous embrouiller.
"Cent" et "vingt" ne prennent un "s" que s'ils sont multipliés et non suivis par un autre adjectif numéral.
Donc "cent Z euros", c'est affreux. Idem pour "vingt Z euros". Ne faites pas les bons élèves qui n'ont jamais fait cette faute à l'oral, on vous a entendu. Et c'était pas joli joli.
Le verbe « appeler » est sacrément chiant. Certes.
Un coup il prend 2 « l » , un coup il n'en prend qu'un... Pourquoi « j'appelle » mais nous « appelons »? Résumons: au présent, il n'y a qu'avec « nous » et « vous » qu'il ne prend qu'un « l ». Par contre il prend toujours deux "p". C'est bon là, ça va mieux?
Ne commettez pas l'erreur effroyable d'omettre que « commettre » et « omettre » n'ont pas le même nombre de « m » !
Nous ne vous ferons pas l'injure par contre de vous rappeler que « apercevoir » ne prend que un « p », vous vous en serez bien aperçu par vous-même...
Il ne faut jamais écrire "elle s'est permise" ou "je me suis permise" (même quand on est une femme.)
C'est une faute très moche qu'on vous expliquerait bien, mais la raison étant semblable à celle du point n°4 qui vous a peu emballé, on hésite, on ne voudrait pas être trop rébarbatifs.
Les terminaisons des verbes du troisième groupe, ce n'est pas (si) compliqué.
Vous écrivez "il résoud" sans broncher, votre coeur balance entre "je peins" et "je peinds", "tu vend" ne vous fait ni chaud ni froid. Pourtant, ce sont des horreurs qui rendraient malade le premier prof de français venu. Ici par contre, à part vous réconcilier avec votre Bescherelle, peu d'issues possibles..

L’astuce infaillible pour rendre une tâche ou une action 2 fois plus facile à faire

Dans votre vie, vous possédez déjà de nombreuses habitudes ancrées. Des gestes que vous répétez chaque jour.
Ils font partie intégrante de votre quotidien et sont devenus tellement naturels que vous n’y prêtez plus attention.
Pourtant, ces routines représentent des moments privilégiés pour vous.
Ce sont, pour ainsi dire, de véritables générateurs d’action, et c’est pourquoi vous devriez vous en servir.
Pour prendre une nouvelle habitude. Ou pour réaliser une tâche qui vous bloque dans votre travail.
Voyons un exemple tout de suite pour bien comprendre.


Facile, quand on connait le truc…

Une habitude…

Imaginons que vous souhaitiez prendre l’habitude d’aller courir après votre journée de travail.
Si vous rentrez chez vous, que vous mangez un petit encas en vous installant confortablement dans votre canapé pour regarder la télévision, les chances sont grandes pour que vous ne décolliez jamais.
Au contraire, si dès que vous franchissez la porte de chez vous, vous enfilez votre tenue de sport et chaussez vos baskets, la suite devient une évidence.

Ou une tâche

De même, si après votre déjeuner, de retour à votre bureau, vous commencez à consulter vos mails de manière passive, vous risquez d’y passer un moment. Et vous augmentez vos chances de tomber ensuite dans tout un tas de petites tâches sans importance.
Maintenant, si dès que vous revenez à votre bureau, vous décidez d’ouvrir un dossier à traiter en priorité et commencez à parcourir son contenu, le reste coulera plus facilement.
Vous l’avez compris. Il est deux fois plus facile de passer à l’action tout de suite après une routine déjà établie.
Et plus vous répétez l’opération, plus cela devient facile et naturel.
Bref, c’est l’un des éléments clés pour créer une nouvelle habitude.

L’astuce, en 3 étapes

Voici comment faire pour en profiter pleinement :

1. Choisissez une tâche quotidienne que vous avez du mal à exécuter, ou bien une nouvelle habitude que vous voulez installer dans votre vie.

2. Identifiez un déclencheur naturel que vous faites tous les jours et qui correspond au moment où vous devez réaliser cette tâche ou implémenter votre habitude.
Pour le matin, c’est par exemple le fait de vous lever, de prendre un café, déjeuner, vous brosser les dents, prendre une douche, vous habiller, etc.
Dans la journée, cela peut être arriver au travail, allumer son ordinateur, déjeuner, quitter son travail, rentrer chez soi, etc.
Choisissez en fonction de l’horaire qui convient et de vos propres routines quotidiennes.

3. Démarrez votre tâche ou exécutez votre nouvelle habitude tout de suite après ce déclencheur. Utilisez cette routine ancrée en vous pour enchainer avec ce que vous devez faire.

Exemple : le matin, ouvrez votre liste de tâches du jour et commencez par la plus importante, tout de suite après vous être installé à votre bureau, avec une tasse de café bien chaud.
Et en fin de journée, préparez votre liste de tâches du lendemain juste après avoir éteint votre ordinateur, et avant de quitter votre travail.
Vous le verrez très rapidement, l’utilisation d’un déclencheur naturel vous permet de vous lancer 2 fois plus facilement.

Répétez l’opération chaque jour de la semaine, et constatez les résultats. Puis décidez de continuer, ou non.